Tuesday, December 19, 2006

http://ps-scpo.over-blog.com/

Je me permets de mettre un lien vers le site d'un ami. Il est webmaster de la section socialiste de sciences po Paris. Je lui ai donné un coup de main sur l'aspect graphique du site internet. N'hésitez pas à y aller, il est très bien fait.

PS : Je ne fais pas parti du parti socialiste, et n'aide ce site uniquement pour rendre service à un ami, brillant de surcroît.

http://ps-scpo.over-blog.com/

Sunday, December 10, 2006

http://mix-basket-attitudes.blogspot.com/

Je voulais faire un peu de pub pour un ami qui organise à Orsay, un événement sportif le VENDREDI 15 DECEMBRE à partir de 18h. Le "Mix Basket Attitudes" est un événement autour des cultures urbaines: Street-ball, Double dutch, Break Dance, Slam, Footbag... le public peut prendre part à ces activités grâce à des ateliers installés sur l'événement. Cet événement est fait en association avec HUMANITARIA, une association à vocation humanitaire qui vient en aide aux personnes défavorisées. Elle aide les personnes à retrouver du travail, un logement, elle subvient aux besoins primaires des individus en difficulté, et permet aux enfants d’avoir le matériel dont ils ont besoin pour leur scolarité…
N'hésitez pas à venir nombreux, et à visiter ce blog très intéressant.
http://mix-basket-attitudes.blogspot.com/

Sunday, December 03, 2006

Référencement google du www.schriver.fr

Bonne nouvelle, pour moi est pour tout ceux qui désirent accéder à mon site Internet : je viens de m'appercevoir que mon site Internet, www.schriver.fr est référencé sur google.fr, lorsque l'on cherche les mots clés Nicolas Schriver! Bonne nouvelle, moi qui n'est en dépit de tout mes efforts jamais vraiment pu référencé http://nicolas.schriver.free.fr. Il est vrai que le fait que www.schriver.fr soit un site sans l'extension .fr, et qu'il aura certainement plus du double de page que l'ancien site améliore sa visibilité. Néanmoins, je reste loin dans les classements pour le mot clé Schriver, car il en existe beaucoup notamment aux Etats Unis, avec de plus un musée en Pennsylvanie, une star du baseball des années 40, et d'autres anonymes présent sur la toile depuis plus longtemps que moi. De plus, je suis plus que mal placé sur google.com. Mais ne vous inquiétez pas, je suis sur la route du référencement.... A bientot sur google.com!

Sunday, November 26, 2006

Online Banking

I wanted to write an article about a Wall Street Journal new of Thursday, November 23 2006, in his European edition. This article talks about banks, and their problem of differenciation. Whatever the services or the products they offer to their customers, they all look alike, and hence, customers can not really tell the differences there are between one or another bank. And on such mature markets, especially the American and European ones, where the best way to grow is to gain market shares. Some banks decided then to use Internet as a tool to provide new innovative services, and then to add value to their existent proposals.

Among them, the Wells Fargo (which was by the way my bank while I was in the US), propose an online tool to help people regularly sock away part of their paycheck to meet a long term goal called "My Savings Plan". Commerce Bancorp has even gone further, and let their wealthy clients view and manage all their accounts online.

The Internet tools allow too, more than the primary banking services, to help out customers in their every day life. For example, Bank of America speeds up bill paying, on a next day basis.

Letting customers taking care of their accounts on line has a positive effects for bank too. It is cheaper for the banks to serve customers via Internet.

The next step : mobile phone. This media allows to touch the customer wherever he is at any time. Thus, banks are retooling in biid to attract users.

I think it is a very important fact, that banks, which are part of our every day life, allow us to manage better and at any time our bank accounts. It shows a good example of how the Internet can provides efficient differenciation and important services for customers. I hope french banks have been aware of that article.

Tuesday, November 21, 2006

New web site www.schriver.fr

I just wanted to let you know a new version of my web site will be soon available (probably at the end of this week). My work experiences and my scholarship will be more detailed, especially for the english part. So see you soon on www.schriver.fr

blog danone

I wanted to post a message about a conference I assisted during the SEMO, the annual fair of the marketing researches. This event is a good opportunity to see the new trends and methods of the marketing researches. Among couple of very innovative technique, there was a danone conference about a new market study tool they used : a blog. Danone is always seeking for objective, and not biased opinion of their customer, especially concerning some highly innovative products. Hence they decided to develop a private blog, to obtain those information.

A market research consulting company recruits some testers, according to the target of Danone's products. Then the customers are explained the use of the blog, and the food company give them some of their products to test. Then, every day, the testers are invited to post messages about how they experienced the products and their opinions.

This concept is also a good opportunity to create synergy between the testers, that can exchange information about how they consume the products.

This new way to test innovative products seems to work good. I think some other companies seeking for testing new products, and to test different uses for those products, should experience it.

Saturday, November 11, 2006

Michael Porter

J'aimerais parler aujourd'hui d'un homme qui a eu une importance fondamentale dans le marketing moderne, et sur la stratégie d'entreprise. C'est homme est Michael Porter. Né en 1943 et professeur à Havard, il a développer des théories sur les chaînes de valeurs et sur les avantages concurrentiels.
Il a ainsi modéliser l'environement d'une entreprise autour de cinq facteurs :
- le pouvoir de négociation des clients ;
- la menace de nouveaux entrants sur le marché ;
- le pouvoir de négociation des fournisseurs ;
- les produits de substitution ;
- la concurrence intrasectorielle.

Sunday, November 05, 2006

Carton rouge à Vivarte

Etant étudiant en école de commerce, j'ai souvent des études de cas à réaliser sur des entreprises. La dernière en date fut celle concernant le groupe Vivarte, spécialisé dans la distribution de vêtement et de chaussure, avec des enseignes tels que André, La Halle aux Vetements. Il a été plus que dur de trouver des informations sur ce groupe. Les personnes en internes que nous avons pu contacter ne savait pas vraiment ce qui se passait, chiffres de 2003 sur le site Internet, impossible d'avoir des estimations de ventes sur les enseignes du groupe... Enfin, on a déjà vu mieux au niveau de la communication institutionnel, surtout pour un groupe de cette importance...

Wednesday, November 01, 2006

Good tips for your market researches

I know that sometimes it is very hard to find out information on some particular and specialized markets. However, it exists some cheap way to get some. Ubifrance, the french agency that helps out french company to export, publishes some market researches worldwide, on very specialized topics such as the direct marketing in Japan, the market of frozen food in Poland... What is true, is that those studies are in french... But still! Some people can be interested by that... And still, it will be less expensive than going through a market research company, since most of the studies are about 250 euros... Don't hesitate to go on www.ubifrance.fr to get more information.

Tuesday, October 31, 2006

Explication sur la DN et la DV

Etant étudiant dans le domaine de la distribution, il y a une notion fondamentale que certains étudiants ont du mal à comprendre : les fameuses DN et DV...
Je vais essayer d'expliquer clairement ce que sont ces concepts. Pour un industriel, comme Danone sur le marché de l'agroalimentaire, ou Sony sur le marché des télévisions par exemple, il est important d'avoir leurs produits disponibles en magasin. En effet, si un consommateur rentre dans un magasin dans le but de s'acheter l'un de ces produits, il est fondamental que celui-ci soit dans ledit magasin... Sinon, il ne peut être vendu, cela va de soit! Donc, il est fondamental pour un industriel, d'être présent dans le maximum de magasins possible, pour éviter de manquer ce genre de vente. C'est une notion plus qu'importante, celle d'être distribuer dans le maximum d'enseignes possible.

Les DN et DV sont des instruments pour mesurer la qualité de la distribution. D'abord, il faut voir dans combien de magasins je suis distribué sur l'ensemble des magasins où je pourrais être vendu. Il est évident que pour Bonduel, il n'y a aucun intérêt d'être distribué à la Fnac! Ce ratio entre les magasins où je suis présent en comparaison à l'ensemble des magasins de mon marché est appellé la DN. Exemple, Findus a une DN de 50 % cela veut dire que Findus est dans 50% des magasins vendant des produits surgelés.

Après, il faut aussi voir l'importance de ses magasins. Par exemples, (c'est une carricature bien sûr!) l'hypermarché Auchan de Vélizy est beaucoup plus important en vente que le supermarché de Courseulles sur Mer! Et donc il faut se poser la question de la puissance de mon réseau de distribution. Je suis Findus, je suis présent dans 50% des magasins qui vendent des produits surgelés, mais est ce que ces magasins sont les plus importants du marché? C'est là ou intervient la DV, ou distribution valorielle. La distribution valorielle montre la puissance d'un réseau de distribution, c'est à dire son poid sur le marché des surgelés par exemple. Imaginons que Findus est une DV de 65%, cela veut dire que les magasins où est distribué Findus représentent 65% du chiffre d'affaires du marché du surgelé. Dans cet exemple (imaginaire), les 50% des magasins vendant des surgelés représentent 65% du CA du marché. Donc la distribution est puissante.

Pendant longtemps, les entreprises ont essayé de développer au maximum leur DN et DV, en voyant dans celles ci des moyens de se développer. Ainsi, des entreprises comme Coca Cola, Danone ou Kraft ont des DN et DV aux environs de 90 95%. Mais après, la seconde étape, puisque ces entreprises sont pratiquement présent dans l'ensemble des distributeurs, c'est de gagné des parts de marché sur les magasins où ils sont présents. Sur ces 65% de parts de marché que mes distributeurs font (dans le cas de Findus), je représente quoi?? Ces 65% de parts de marché est représenté par l'ensemble des marques de surgelés. Il faut donc gagner des parts de marché sur ces concurrents, pour augmenter son profit.

Voila, je pense que c'est assez clair... En tout cas, j'ai fait mon maximum....

Saturday, October 14, 2006

article sur mon master

Je suis étudiant depuis le début de l'année universitaire 2006-2007 du master distribution et relation client à Dauphine. Je tenais à vous transmettre cette article paru dans Supply Chain Europe, un magazine anglais.

French academic makes the case for taking forecasts out of the hands of sales people
We often look to the learned for leadership; clever people are a great source for clever ideas.
Régis Bourbonnais, who runs a Master's course at Paris-Dauphine university, has been writing about retail forecasting and promotions management for almost a decade; he's the author of a whole series of books on the subject.
But it's clear from the moment he starts speaking that his passion for the science of forecasting remains keen. It takes a bit of chutzpah to use the word 'science' in connection with retail forecasting; many argue that it's more of a dark art.
With Bourbonnais around, though, twentieth-century wisdom along the lines of 'If you have a hunch, buy a bunch' goes out of the window. The man has formulae and theorems coming out of his ears.
Forecasting is an important activity, he confirms, and can be a lever for profit. "It's something that's very dear to me," he adds with eyes briefly closed, a downturned mouth and several small nods of the head, like a Burgundy connoisseur on tasting a first sip of a new vintage of Hautes Côtes de Nuits and finding it lives up to ail expectations.
But improving the quality of your forecasts is more difficult in retail than in other industries and it's this that he seeks to apply his scientific knowledge to.
If you interview shoppers in a supermarket, you will immediately see a discrepancy between the items people say they've come to buy and the goods they've put into their trolleys when they reach the checkout, the academic explains.
The reason is pretty obvious: if consumer products manufacturers and their retail partners are keen on promotions, it must be because these exercises work - they entice shoppers into buying goods they don't really need. Promotions, with their intense focus on targets and shifting large volumes of a product quickly, are the big problem for large retailers in Bourbonnais's opinion.
He continues: "One of the first things retailers need to do is separate completely their forecasting activity from sales targets. It's fine - I'd go so far as to say it's healthy - for a business to keep its targets and its forecasts separate. Otherwise, you run the risk of contaminating your forecasts."

Conflict of interests
This leads Bourbonnais to ask who needs to take responsibility for forecasting in a retail company. In companies he's studied, he says it's often the supply chain and logistics professionals who take charge, which he says is fairly logical.
Much more surprising is when it's the sales and marketing people who take the lead on forecasting. He regards them as being in a poor position to forecast because they have targets; it can lead to a conflict of interest.
In a perfect world, all three areas of the business would work together on forecasts, but Bourbonnais knows the world is not perfect.
And he suggests that this may be just as well. "To have the best possible quality of service in a retail store," he explains, "you'd need perfect forecasts and very high stock levels. That means, sometimes, there's no point in overinvesting in a forecasting system because who can afford to have very high stocks?"
So perfection may be out. But that does not detract from his argument that most businesses can, and should, "stay close to demand" and improve their forecasts.
Safety in numbers
And don't talk to him about safety stock, which for Bourbonnais is about knowing which items are difficult to forecast and hardest to find supplies of at short notice.
Much of the safety stock retailers keep represents a big waste of money, he insists, and this is where payback from investing in forecasting technology can come.
He gives the following example. If a company has eurolbn in stock, safety stock will probably account for 20% of that. The result of improving forecasts by between 25% and 30% could lead to a 10% improvement in safety stock, which translates into a saving of euro20m, for what the academic calls a comparatively small improvement.
He adds: "People have suspected for some time that improving your forecasts can make you money, but now you have proof."

"One of the first things retailers need to do is separate completely their forecasting activity from sales targets."
Régis Bourbonnais, Paris-Dauphine University.

Monday, July 03, 2006

Nouveau site Internet

Je viens d'acquérir avec ma famille le nom de domaine www.schriver.fr. A ma grande surprise, www.schriver.eu était déjà réservé par... Un slovaque qui s'appelle Nicolai SCHRIVER! Un genre de cousin donc...
Bien qu'il ne soit pas encore construit pour l'instant, vous pourrez trouver dessus des informations sur la famille Schriver, des photos, et d'autres news. Je vous préviendrai dès que celui sera en ligne.

Tuesday, June 20, 2006

Dollar/Euro, bon pour qui?

Le dollar est reparti à la baisse depuis début avril, à cause des mauvais chiffre de son économie, des problèmes politiques internationaux (notamment avec l'Iran), et d'une volonté de la FED de garder un dollar à bas prix. Cette politique, bien que risquer, est néanmoins un désavantage certains pour bon nombre d'entreprises européennes établies ou souhaitant s'installer sur le marché américain. En effet, de mon expérience professionnel dans l'Iowa, l'euro fort a été très mauvais pour notre entreprise. En effet, l'entreprise étant Belge (rattaché au groupe Tessenderlo), il était très difficile pour nous d'importer de la gélatine venant d'Europe à cause du dollar faible. Ainsi, les Etats Unis se protège par ce biais des exportations européennes dans son pays, puisque l'euro fort fait augmenter les prix des produits provenant du vieux continent. Ce qui parait donc comme une aubaine pour les européens passant leurs vacances aux Etats Unis ou plus généralement en Amérique, est pourtant mauvais pour nos entreprises. Je pense que l'euro n'a pas forcément intérêt à continuer à être si cher, car cela lui portera préjudice dans le futur, pour ses exportations.

Tuesday, May 30, 2006

travail écrit de Dauphine / Dauphine's report

Je mettrai très prochainement le travail écrit que j'ai effectué pour l'admission au programme Distribution et Relation Client à Dauphine sur mon site Internet. Celui-ci porte sur le commerce de proximité et les nouveaux comportements d'achat. Je me tiendrais à la disposition des personnes désirant connaître plus d'information sur ce travail sur mon blog.

I will post the report I wrote for my Dauphine admission. The issue is the proximity commerce in France regarding the new consumer behavior. I will be pleased to answer to questions about it, and I also hope it will help out people that are working on the same subject. I will probably post a comment on my blog soon to sum up my researches.

Monday, May 08, 2006

The new intelligent loyalty card

As you might know, if you really know me well, I am fund of Customer Relationship Management. I am also very attracted by all the new technology that can promote them, or even improve it thanks to new tools to mesure and understand customer needs and wishes. Thus, I have been very interrested lately by the new programs set up by Visa (a wordwide well known credit card company).
This company decided to launch some discounts policy with their program. Hence, one of the main purpose of a credit card such as a visa master card is to offer financial services attached to the use of the card. For example, they offer an insurance, recovering a 100% the purchases stolen for a one month period, or a non fee use in foreign countries of their card. But a couple of weeks ago, I have realised they were offering an extended offer : from now on, they will propose discounts on for example flights, or in some travel agencies. But in my opinion, that is just the beginning of what can be accomplished in this area.

Banks are the companies that have the biggest customer data base. They have some demographic information (your name, sex, location), but also the information of your purchases : as you can see in your monthly bank sum up, they can know about how much money is in your accountS (even the one you are not actually using), what you are buying, where (they can know the specific location of the Mac Donald's you are going to), and how often you go there. What a dream for every direct marketing or brand loyalty manager!

As the technology is improving more and more, we can imagine, with some high tech programs, to build up personalize multi brand loyalty programs, to adapt to the customers needs. As you might now, some companies in France have build up some multi-branded loyalty programs. For example, Mouvango, is a program developped by Accentiv', a sub division of the Accor group, on the concept of travel. Thus, they have made their program all around this concept, developping partnership with hotel company (Accor ones such as Novotel), gas company (Total), restaurant (Campanil)...

Those programs are based on a concept that have been build up for many different type of customer. But with the high technology that exist nowadays, we can dream about an intelligent card, that depending on what you buy and how often, will be able to determine the discounts you would have.

Hypermarket companies like Carrefour proposes some loyalty cards based on the declaration of the customers: the customer choose out of many different brands which one he would like to have discounts on it. That is a sort of the concept I am planning will be developped. But this time, the program will be dynamic, since depending of the season you are not puchasing the same products, and the program will be adapting itself to your customer experience.

Thus, we can think, thanks to those new concepts with technology, that banks and credit cards services will be able to develop some intelligent and dynamic multi-brand credit card. And when that will be the case, we would really be able to say "the company is adapting itself to the customer".

Wednesday, May 03, 2006

Thèse Thesis

Ainsi, je viens de finir mon mémoire réalisé dans le cadre de mes études à l’IPAG. Ayant eu beaucoup de mal à trouver des informations sur le sujet du sponsoring du sport associatif, ce mémoire sera téléchargeable sur mon site Internet www.nicolas.schriver.free.fr. J’espère qu’il aidera les investigations dans ce domaine, qui m’a paru d’un très grand intérêt. Je publierai certainement prochainement un résumé de celui-ci.

As it can interest other students for academic researches, I will share on line my thesis about the sport sponsoring. It will be available on www.nicolas.schriver.free.fr very soon. I think it can be interesting for anybody who wants to have information about this media that I do consider as an important one.

Mythologies de Roland Barthes

Le dernier livre que j’ai lu était Mythologies de Roland Barthes. Ce livre, écrit par un spécialiste en méthodologie, est axé sur la description de concepts et d’événements contemporains (ce livre a été écrit dans les années 1950), et considéré par les publicitaires comme un ouvrage de référence. En effet, ce livre, en appliquant une méthodologie descriptive s’évertue à donner un sens mythologique aux thèmes abordés. Par ce procédé, la psychologie des consommateurs de lessives, les adorateurs de la DS, ou encore les spectateurs de catch sont comparés à des attitudes ancestrales de mystification et de démystification.
Mais un autre point important abordé par l’auteur est celui de la petite bourgeoisie. Roland Barthes décrit cette population comme possédant une obsession du comptage. Ainsi, pour lui, la valeur des choses doit toujours s’apprécier de façon numéraire, que ce soit la sueur de l’acteur, du nombre de lieux touristiques à visiter dans une ville. Cette obnubilation, qui peut parfois paraître démesurer, semble néanmoins avéré. Ainsi, souvent, la valeur d’un artiste est toujours considérée en lieu égard au nombre de disques qu’il aura vendu, l’intérêt d’une voiture à sa puissance. Ce critère numéraire est dans un sens rassurant, car il peut être évalué, et considéré comme objectif. Seulement, l’envie de mesurer l’art est très difficilement réalisable. Ainsi, Mozart ne s’est il pas vu refuser une pièce de musique sous le prétexte qu’elle comportait trop de note ? De même certains travaux trouve leurs véritables valeurs sur des critères non estimables financièrement.
Bien plus que la méthodologie, et l’envie de trouver un sens à des comportements contemporains, je pense que la réelle leçon que l’on peut tiré de ce bouquin est bien celle de la petite bourgeoisie, tellement obnubilé par ces comptes qu’elle en oublie d’apprécier des critères subjectifs pourtant essentiels dans certains cas.

Monday, March 27, 2006

De la manière de créer du contact

Il y a deux semaines de cela, j'ai eu l'occasion, avec ma maître de stage d'assister à une réunion de l'ADETEM, l'association des dirigeants Marketing. Cette réunion fut l'occasion d'exposer une présentation Power Point que j'avais préparé sur la communication internationale, plus particulièrement sur le marché chinois, et le marketing direct au Japon. Cette présentation fut réussie, celle-ci suscitant de nombreuses questions.
Cette réunion fut aussi une très bonne occasion pour discuter, et échanger avec des professionnels marketings de secteurs d'activité variés. Ainsi, un déjeuner était organisé avec les membres de l'association, travaillant des entreprises aussi prestigieuses que différentes que Microsoft, PSA, PPR, l'IAE de Lyon, ou Total.
Cette réunion fut une découverte pour moi, et me permis d'apprécier la valeur de ces rencontres. En effet, même si elles sont informelles, elles permettents de parler, et de rencontrer des personnalités, des idées, et des expériences différentes.
Les membres m'ont invité à une prochaine réunion. J'ai hâte d'y retourner.

Sunday, March 26, 2006

Back in Business

Il est vrai que je n'ai pas eu vraiment le temps entre mes examens, et mon stage d'alimenter mon blog en nouvelles informations... Néanmoins, la création de mon site Internet me permettra surement d'alimenter un peu plus ce site. En tout cas, j'espère pouvoir passer plus de temps sur mon blog, dès que mon mémoire sera fini.